« Respect des libertés d’expressions et d’actions syndicales ! »
Rassemblement devant la Bourse du Travail, place Saint-Sernin
Inauguration de l’Esplanade des droits et libertés des salariés.
« Casser du militant », briser des élans sociaux, créer des peurs, menacer les Bourses du travail… la répression syndicale reste un des moyens patronal pour freiner le développement du syndicalisme. Ainsi, certains militantes et militants de la CGT, de par leur engagement, sont traités comme des délinquants. Ils sont trainés devant les tribunaux, dans des procédures de plusieurs années. Leur carrière est souvent brisée, leur vie bouleversée, leur famille affectée…
Les affaires judiciaires de Roanne, des « 5 d’EDF-GDF », l’inspectrice du travail à Annecy poursuivie par Tefal, de la Bourse du travail du Blanc-Mesnil, de Chartres, du Havre, de Villefranche-sur-Saône, de la Caisse d’Epargne de l’Ile de France… sont autant de preuves d’une volonté patronale et d’une partie du pouvoir judiciaire, de criminaliser l’action syndicale dans un contexte d’action collective (Grève, manifestation…).
Les sanctions en droit pénal, qui pèsent contre les militants syndicaux, traités comme des « voyous » par le patronat et certains procureurs, sont inadmissibles et n’ont rien à voir avec la réalité du fait syndical !
Pour la CGT, porter atteinte à un militant syndical, c’est porter atteinte à toute la CGT ! La lutte contre la criminalisation de l’action syndicale, s’inscrit dans la démarche générale de la CGT de lutte contre toutes les formes de discrimination.
Lisez et diffusez le document de la CGT "Pas de conquêtes sociales dans libertés syndicales".
Les mobilisations du 23 septembre 2015 auront lieux partout en France. Téléchargez le programme