Jeudi 16 janvier
Tou·tes en grève et dans la rue
Manifestation 10h Saint-Cyprien (Toulouse)
Action interpro 14h (... Ballons bleus et jaunes)
AG 17h Fac du Mirail Amphi B
Mardi 14 janvier
Tou·tes en grève et dans la rue
Manifestation 10h Saint-Cyprien (Toulouse)
AG 14h Fac du Mirail Amphi 9
Muret – RDV 18h à la sous Préfecture
À l'appel des agents grévistes de Tisséo
Rassemblement sur les piquets de grève :
mardi 14 à 5h Dépôt d'Atlanta
et atelier route de Saint-Simon
mercredi 15 à 5h Dépôt de Colomiers
jeudi 16 à 5h Dépôt de Langlade
L’intersyndicale nationale réunie ce jeudi 9 janvier et ce samedi 11 janvier appelle à poursuivre
et amplifier la mobilisation la semaine prochaine les 14, 15 et 16 janvier.
Le projet de réforme de retraites par points est rejeté par une majorité de la population, pourtant le gouvernement s’obstine à vouloir l’imposer sans aucune inflexion.
Depuis le 5 décembre, notre pays est engagé dans un conflit social d’une ampleur exceptionnelle, des manifestations et des actions qui ont eu lieu pendant toute la période de fin d’année, il n’y a pas eu de trêve.
Nous refusons tout dispositif basé sur la mise en place, d’un système calculé sur l’ensemble de la carrière.
Cette réforme idéologique qui est une profonde remise en cause de notre modèle social doit être retirée, le discours du pouvoir qui tente de faire croire que le nouveau système serait plus équitable ne résiste pas à une analyse élémentaire que peut faire chaque salarié·e.
Pour la CGT les principes mêmes de cette réforme par points sont inacceptables, car elle va paupériser l’immense majorité des salarié·es.
Le lien entre le sujet des retraites et celui des salaires est tout autant inadmissible. La revalorisation de nos métiers est un sujet urgent et qui doit être traité, indépendamment de la question des retraites.
Jean Michel Blanquer maintient le plus grand flou sur la nature des contreparties (temps de travail, présences pendant les vacances, etc.) qu’il entend nous imposer.
La période des vacances scolaires a démontré la détermination des salarié·es en lutte qui n’ont pas fait de trêve. Alors que la mobilisation et la grève se poursuivent depuis plus d’un mois, le gouvernement n’arrive toujours pas à vendre sa contre-réforme et la rend de moins en moins « universelle » et de plus en plus opaque.
La très grande majorité de la population active a, en revanche, bien compris que cette réforme, âge pivot ou pas, était anti sociale et destinée à baisser les pensions de retraite.
Après la forte mobilisation interprofessionnelle du 9 janvier, le gouvernement est donc de plus en plus isolé.
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