Une rentrée calamiteuse
et des établissements sous tension
La hausse des effectifs et les suppressions de postes entraînent des classes surchargées et des conditions de travail pour les personnels et d'études pour les élèves fortement dégradées.
De même de nombreux postes ne sont pas pourvus. En plus de difficultés pour les équipes en place, cette pénurie organisée du nombre d’enseignant·es entraine pour les TZR et contractuel·les à subir des affectations totalement impossible (2 et souvent 3 établissements) et non sans conséquences sur la vie personnelle et la santé des collègues.
C'est le cas également des collègues qu'on affecte sur une discipline qui n'est pas la leur comme par exemple nos collègues de Lettres modernes à qui on impose l’enseignement du Latin…
C'est dans ce contexte que établissements se mobilisent contre les sur-effectifs comme au collège G. Chaumeton de l'Union où l’ensemble des personnels étaient massivement en grève hier, jeudi 10 septembre.